En septembre 2024, Olympe Chabert sortait Haut les cœurs partie 1, en septembre 2025, la partie 2 vient compléter le tableau. Aujourd’hui, ce sont donc deux disques, onze chansons, et un puzzle émotionnel qui nous accompagne en ce temps de rentrée.
Avec Haut les cœurs, Olympe signe un premier album qui frappe par sa sincérité. Deux disques, onze titres, 31 minutes, et pas d’artifice.
Pour plonger dans cet univers, il faut s’accorder une pause. Se poser, mettre son téléphone en mode avion, et laisser tourner l’album d’une traite.
Car Olympe ne triche pas : elle nous invite dans ses pensées, ses doutes, ses blessures, ses regrets amoureux, sa recherche de soi. Elle écrit comme on noircit un carnet de notes. C’est intime, brut, parfois vertigineux. Et ça mérite mieux qu’une écoute distraite en streaming entre deux playlists.
Les mélodies : guitares acoustiques, claviers aériens, quelques beats discrets, une mise en scène sobre qui laisse toute la place à la voix et au texte. Chaque chanson devient une pièce du puzzle, une couleur douce dans une palette pop cohérente.
Difficile de choisir des coups de cœur tant l’ensemble se tient. Mais s’il faut en retenir trois : « Bad Boy Malheureux », fragile et percutant à la fois, « Toutes les chansons d’amour », sincère jusqu’au vertige et bien sûr « Haut les cœurs », qui vient refermer ce deuxième disque avec une intensité particulière.
Un premier album dense et touchant, qui donne envie de ralentir, de s’arrêter, et simplement d’écouter.
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