Pour ce « Mini Made », nous allons nous intéresser de près et en express aux quenottes ! C’est dans le hall d’entrée de la Poste il y a quelques jours, que j’ai réalisé que je n’avais pas fait mon bilan dentaire annuel. Vous me direz : quel rapport avec la Poste, et bien c’est surtout le sourire tout droit sorti des contes de la crypte qui m’a littéralement foudroyée, à moins que ce soit cette odeur fétide qui m’a piqué les yeux ! Bref, ni une ni deux, de retour à la maison, c’est parti pour la recherche de l’antidote ; on ne sait jamais, dès fois que ce soit contagieux !
Le blanc, c’est quand même plus beau que le jaune-brun-noirâtre… non ?
– L’éternelle recette de grand-mère mais qui a traversé des décennies en prouvant son efficacité : brossage au bicarbonate de soude et jus de citron. Inutile de faire un beignet moussant au bout de la brosse, on tapote les poils de la brosse sur la poudre et on ajoute sur la fine couche 1 ou 2 gouttes de jus de citron. Cela ne remplace pas le brossage, mais c’est un super polissage, dont il ne faut pas abuser trop souvent pour protéger ses gencives.
– Pour celles et ceux qui ont les dents très fragiles, un brossage aux framboises écrasées ravivera l’effet blancheur de l’émail, ou encore se frotter les dents avec une feuille de sauge.
L’éclat, c’est bien mais s’il flotte dans l’air un effluve suspect, voici les minis combines pour éviter la proposition la plus désagréable possible : – « tu veux un chewing-gum ? »
– Le mâchouillage de persil assainira votre haleine, et celui d’un grain de café passera sous silence l’aïoli que vous avez dégusté !
Pourtant, une situation existentielle demeure : l’haleine de chacal du matin dans le plumard de votre nouveau mec… Et là, je suis navrée, à part un doctorat en levé et brossage en douce… je ne vois pas !
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